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  • Homme de paix et de vérité,Auteur du projet du Dialogue Direct inter-ivoirien,Stratège diplomatique de formation,Seth Koko fut Leader d'opinion,défenseur des droits de la société civile ivoirienne, à travers l'ACSCI dont il est le Fondateur
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12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 12:58

luandaviecheregrues-1-_0.jpgNous vous proposons un coup de projecteur sur la capitale. On assiste à un véritable boom immobilier à Luanda depuis la fin de la guerre civile en 2002. La ville, conçue pour cinq cent mille habitants, en compte aujourd’hui près de cinq millions. Luanda est considérée comme la capitale la plus chère du monde pour les expatriés.

A Luanda, le paysage urbain est hérissé de grues. La capitale angolaise se prend pour un Dubaï africain. La ville est un chantier géant et les nouveaux appartements ne sont pas à la portée des Luandais. A 34 ans, Helena habite encore chez ses parents. Il lui arrive de lire les annonces immobilières du New York Times : « Je compare les prix d’ici avec ceux de Manhattan à New York, et c’est aussi cher ! Je suis désolée, mais Luanda ce n’est pas New York, ce n’est pas la même qualité de vie ! ».
 
Pedro est Espagnol et travaille pour une agence des Nations unies à Luanda. Il se serre la ceinture malgré son confortable salaire : « Six mille dollars, ça peut paraître beaucoup, mais ici, rien que pour le loyer, je paie trois mille dollars. Et encore, pour Luanda, je fais une affaire ! ».
 
Les Angolais sont obligés d’habiter en banlieue. Pour arriver à l’heure au bureau, ils doivent se lever à quatre heures et demi du matin, car les embouteillages sont terribles à Luanda.

luandaviechereexpat1-1-_0.jpgLes expatriés qui travaillent pour le groupe pétrolier Total n’ont pas ce problème. On les repère facilement sur les plages de L’Ilha de Luanda. Ils lisent des magazines français et n’ont pas l’air stressés.
« Les appartements chez Total, on n’a pas ce souci à gérer puisque c’est la compagnie qui s'en occupe directement, mais les prix sont démentiels. Cela dit, dans le secteur du pétrole ça ne freine pas grand monde parce qu’il y a l’appât du gain qui est très important. C’est vrai que c’est un peu difficile de vivre en permanence avec des prix démesurés mais nous, on arrive quand même à mettre de l’argent de côté. On n’a pas à se plaindre ».
 
Le pétrole représente  près de 60 % du PIB angolais. Hormis l’or noir, le pays doit importer quasiment tous ses produits de consommation. Par ailleurs, le port de Luanda est souvent engorgé, ce qui alimente la hausse des prix. Résultat : un kilo de tomates peut coûter dix dollars.

Pour Almérindo Jaka Jamba, député de l’opposition Unita, le gouvernement doit à tout prix diversifier l’économie du pays :  « Ici on a des terres arables, ici on a de l’eau en Angola, ici on a un pays qui présente d’énormes potentialités. Mais il y a cette dépendance du pétrole. Au lieu d’être une source d’opportunités, ça peut aussi être une vraie malédiction ! »

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