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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 00:01

En visite à Tremblay-en-France, où des bus ont récemment été attaqués, le chef de l'État a introduit le nouveau préfet, Christian Lambert, ancien patron du Raid. Il a promis "une action en profondeur" contre le trafic de drogue.

REUTERS - Nicolas Sarkozy a assuré mardi que l’Etat ferait preuve de « fermeté absolue » dans la lutte contre l’insécurité et le trafic de drogue dans les banlieues françaises difficiles.

Le chef de l’Etat a fait de la ville de Tremblay-en-France, théâtre de récentes agressions contre des autobus, et plus généralement du département de la Seine-Saint-Denis, le symbole de cette « lutte sans merci ».

« Aucune commune, aucun quartier, aucun hall d’immeuble de Seine-Saint-Denis n’échappera à l’autorité de la loi », a-t-il déclaré dans un discours à la préfecture de Bobigny.

Un discours déjà maintes fois entendu dans la bouche de Nicolas Sarkozy à propos de l’insécurité, notamment dans les quartiers sensibles, quand il était ministre de l’Intérieur, entre 2002 et 20O7, et depuis le début de son quinquennat.

Les résultats n’ont jusqu’ici pas véritablement été au rendez-vous et, depuis la déroute de son camp aux élections régionales de mars dernier, le chef de l’Etat a remis l’accent sur un thème cher aux oreilles de son électorat.

Cette fois, il est venu présider à l’installation à Bobigny d’un « homme d’action » au poste de préfet - Christian Lambert, ancien patron du Raid, une unité d’élite de la police, et ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur.

Établissements scolaires spécialisés

Christian Lambert remplace Nacer Meddah, un des rares préfets issus de la diversité, muté dans une région moins affectée par la délinquance, la Franche-Comté.

Jadis soucieux de montrer son attachement à la promotion de hauts fonctionnaires issus de l’immigration, le chef de l’Etat semble aujourd’hui privilégier des objectifs plus à même de plaire à la droite et aux électeurs d’un Front national qui a fait un retour en forces aux élections régionales.

Il a déclaré qu’il demandait en premier lieu au nouveau préfet de Seine-Saint-Denis d’y affirmer l’autorité de l’Etat.

Le président a également indiqué que la suspension des allocations familiales en cas d’absentéisme scolaire injustifié et répétitif devra avoir un caractère systématique et annoncé à la rentrée la création d’établissements spécialisés pour accueillir des jeunes de moins de 16 ans qui perturbent gravement la vie scolaire, dont deux en Seine-Saint-Denis.

“Tout migrant en situation irrégulière a vocation à être reconduit dans son pays. Il n’existe pas de solution alternative”, a-t-il ajouté.

Nicolas Sarkozy avait auparavant visité deux dépôts d’autobus cibles d’attaques en mars au Tremblay-en-France.

Il a rencontré les conducteurs des sociétés TRA (Transports rapides automobiles) et CIF (Courriers d’Ile-de-France) avant de faire le point au commissariat de Villepinte sur la sécurisation des transports en commun et la lutte contre les trafics.

“Les violences dans les transports et les établissements scolaires en Seine-Saint-Denis, ça doit cesser. Il n’y a aucune raison que la République renonce à s’appliquer partout. La République doit réagir avec une fermeté absolue”, a-t-il dit.

Sarkozy promet des résultats

Le président a promis des “résultats” et, s’il a admis que tout ne pouvait se résumer “à des problèmes de police et de sécurité”, il a estimé que, sans sécurité, il n’y aurait “pas de développement écocomique et social”.

Lors de la discussion avec les conducteurs de bus, un délégué syndical CGT, Larbi Slimani, a estimé qu’il n’était “pas normal de ne pas dégager moyens supplémentaires”.

Un conducteur a pour sa part tendu un CD à Nicolas Sarkozy et lui a demandé de “faire écouter ça” à sa femme.

“Attendez, je vais l’appeler et je vous la passe”, a répondu le président, qui s’est exécuté, provoquant une conversation de quelques minutes entre le conducteur et Carla Bruni.

A Bobigny, quelques dizaines de manifestants avaient été tenus à distance par des barrières de sécurité, en majorité des habitants issus de l’immigration venus se plaindre de la façon dont la préfecture les traite.

Un homme d’une quarantaine d’années a sauté la barrière pour se précipiter vers la préfecture. Mais il a été aussi rattrapé par des CRS en tenue anti-émeute et emmené manu militari.

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