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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 01:29

ADO nouvelanTHE ASSOCIATED PRESS

PARIS – Le gouvernement du président ivoirien Alassane Ouattara doit traduire en actes son engagement affirmé en faveur d’une justice impartiale en prenant des mesures à l’encontre des membres de ses propres forces armées impliqués dans les crimes commis pendant et après la période post-électorale, a affirmé Human Rights Watch dans un rapport rendu public mercredi.

Une approche déséquilibrée de l’effort de justice menace de créer de nouveaux clivages dans le pays, au moment même où le gouvernement Ouattara dispose d’une opportunité unique de mettre fin à la manipulation des blocs politiques et ethniques qui était courante en Côte d’Ivoire sous le régime de Laurent Gbagbo, a ajouté l’organisme newyorkais de défense des droits de la personne.

Le rapport de 150 pages présente de manière détaillée les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité qui auraient été commis tant par les forces de Gbagbo que de Ouattara. Le rapport décrit les violations des droits humains qui seraient survenues entre novembre 2010, lorsque M. Gbagbo a perdu l’élection présidentielle mais a refusé de quitter le pouvoir, et juin 2011. M. Ouattara a pris le pouvoir en avril 2011.

Au moins 3000 personnes auraient été tuées et 150 femmes violées pendant le conflit, ces crimes étant souvent des actes ciblés commis sur la base de critères politiques, ethniques et religieux. Le rapport décrit également les efforts réalisés par le gouvernement Ouattara pour mettre les auteurs de tels crimes face à leurs responsabilités et, notamment, l’inculpation par le procureur civil ou le procureur militaire d’au moins 118 anciens membres du camp Gbagbo.

«Le gouvernement Ouattara a pris des mesures louables pour poursuivre en justice certains dirigeants du précédent régime, dont Gbagbo lui-même, qui selon des éléments de preuve crédibles auraient commis des crimes graves, a signalé Daniel Bekele, Directeur de la division. … Afrique à Human Rights Watch. Cependant, la justice doit être au service des victimes des deux bords qui ont vu leurs proches être tués ou dont les maisons ont été incendiées, et ne peut être un outil au seul service des vainqueurs.»

Le rapport s’appuie sur six missions de recherche effectuées entre janvier et juillet 2011, quatre à Abidjan et deux le long de la frontière ivoiro-libérienne. Les chercheurs de Human Rights Watch ont interrogé plus de 500 victimes et témoins des violences, ainsi que des membres des forces armées des deux camps, des responsables du gouvernement Ouattara, des journalistes, des personnels de santé, des représentants d’organisations de défense des droits humains et humanitaires, des représentants des Nations Unies, ainsi que des diplomates à Abidjan, New York, Washington et Paris.

Le rapport nomme 13 dirigeants militaires et politiques qui auraient été impliqués dans de graves exactions et s’appuie sur des informations corroborées par plusieurs sources indépendantes, y compris des victimes, des témoins et d’autres auteurs de violences impliqués dans ces événements. Huit des dirigeants ainsi mis en cause faisaient partie du camp Gbagbo, dont l’ancien président lui-même, mais aussi celui qui a longtemps été chef de milice, Charles Blé Goudé; l’ancien chef des forces armées, Philippe Mangou; et les anciens chefs de deux forces d’élite de sécurité, Guiai Bi Poin et Bruno Dogbo Blé.

Quatre dirigeants mis en cause font partie du camp Ouattara, notamment Eddie Médi et Ousmane Coulibaly, des Forces Républicaines. Des éléments de preuve établiraient des liens entre ces deux commandants et de graves crimes similaires commis pendant le conflit armé de 2002-2003 et ses suites.

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