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  • : L’ACSCI (Alliance Citoyenne de la Société Civile Ivoirienne) est une cellule de réflexion d’intellectuels ivoiriens qui s’unissent pour la défense des droits des populations."Vous souhaitez adhérer ou représenter notre cellule dans votre pays de résidence, n’hésitez pas à nous contacter."
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  • Homme de paix et de vérité,Auteur du projet du Dialogue Direct inter-ivoirien,Stratège diplomatique de formation,Seth Koko fut Leader d'opinion,défenseur des droits de la société civile ivoirienne, à travers l'ACSCI dont il est le Fondateur
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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 11:21

Le terrorisme islamiste menace fortement toute la sous région ouest africaine

- Mali - Bamako - le 14 janvier 2013 © koaci.com - KOACI.COM apprend de témoignages concordants recueillis sur place que les islamistes qui ont pris possession dans la localité de Diabaly (375 km nord de Bamako) se livrent à la propagande de leurs ambitions Djihadistes terroristes.

Ainsi par haut parleurs et tracts, ces derniers ont affirmé dans des messages scandés en Arabe, Bambara et en Français, ce lundi qu'après le Mali, la Côte d'Ivoire et le Burkina seront à leur tour attaqués.

Après les menaces exprimées sur la France en annonçant des représailles sur son sol, les islamistes veulent désormais semer la psychose dans la sous région.

En France un plan de sécurité vigipirate a été depuis enclenché, au Burkina, la frontière a été sécurisée depuis vendredi dernier avec 1000 soldats déployés (voir article koaci.com). Pour l'heure la Côte d'Ivoire brille pas son absence sur cette actualité sensible pour toute la sous région.

Pour finir notons que la grande Bretagne a envoyé "un petit détachement de personnel technique" à l'aéroport de Bamako. Le Canada quant à lui a annoncé ce lundi qu'il fournira un avion de transport pour assurer un soutien logistique à la mission française Serval.

Ib

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 13:54

gare-routiere.jpgDes milliers d`Ivoiriens fuyant les violences à Abidjan, la capitale économique de la Côte d`Ivoire, ont conflué dimanche vers la gare routière centrale, s`entassant à bord de cars avec leurs bagages pour tenter de gagner les campagnes.
Des personnes poussaient, se bousculaient et se sont parfois invectivées et battues pour monter à bord des cars, où des enfants épuisés tentaient de dormir sur des piles de valises à la gare routière d`Adjamé.
Dans ce quartier ont eu lieu de violents affrontements ces derniers jours entre les forces de sécurité fidèles au président sortant Laurent Gbagbo et les partisans de son rival, Alassane Ouattara.
"Nous quittons Abidjan. On nous a tiré dessus jour et nuit et nous ne savons pas quoi faire. Nous en avons assez de tout ça", déclarait un fonctionnaire du nom d`Adama Diawara, devant une foule de personnes se réfugiant à un abribus.
"Nous voulons que la communauté internationale nous vienne en aide", ajoutait-il.
Gbagbo refuse de céder le pouvoir à Ouattara, dont la commission électorale ivoirienne a proclamé la victoire, laquelle a été certifiée par l`Onu et reconnue par la communauté internationale.
Au moins 25 personnes ont été tuées jeudi quand les forces de Gbagbo ont tiré des obus de mortier contre le tentaculaire bidonville d`Abobo, fief des partisans d`Ouattara, a déclaré la mission de l`Onu en Côte d`Ivoire. Les forces de Gbagbo ont démenti avoir tiré ces obus.
Selon l`Onu, 435 personnes ont été tuées et 450.000 autres ont dû fuir leurs habitations depuis le début des violences, au lendemain du second tour de l`élection présidentielle du 28 novembre.
Samedi, Charles Blé Goudé, ministre dans le gouvernement de Gbagbo et chef des "Jeunes patriotes", le mouvement de jeunesse de ses partisans, a appelé la population à s`enrôler dès lundi matin dans l`armée ivoirienne, ce qui accentue les craintes d`une nouvelle guerre civile.

Source: Reuters

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26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 12:48

965689-copie-1.jpgLe président Sarkozy a confirmé la mort de l'otage français Michel Germaneau dont l'exécution avait été annoncée hier par le groupe al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). « Ce crime ne restera pas impuni » a martelé le président de la République qui a condamné un terrorisme barbare et demandé à tous les ressortissants français d'éviter la zone sahélienne.

AQMI avait justifié l'exécution de Michel Germaneau en parlant de représailles à une opération militaire mauritanienne menée contre ses membres avec l'appui de l'armée française.En confirmant la mort, de l'humanitaire français, Michel Germaneau, le président de la République a condamné « un acte odieux et barbare ». « Nous avons affaire à des gens qui n'ont aucun respect pour la vie humaine, ils ont assassiné de sang- froid un homme de 78 ans, ce crime ne restera pas impuni » a conclu Nicolas Sarkozy. Le président de la République n'a pas donné de détails concernant les circonstances de la mort de l’otage d’AQMI.
 
Dimanche, 25 juillet 2010, en début de soirée, dans un enregistrement diffusé par la chaîne Al Jazira, l'organisation al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) avait affirmé avoir « exécuté » l'otage français en représailles au raid franco-mauritanien mené jeudi 22 juillet dans lequel six membres de l'organisation ont été tués. Et c'est là toute la question, l’otage a-t-il été exécuté en réponse à cette opération, ou était-il déjà mort lorsque l'opération a été lancée?
 
On sait que Michel Germaneau, âgé de 78 ans, était de santé fragile, malade du cœur ; il était sous traitement mais ne recevait plus de médicaments. Plusieurs sources, particulièrement au Mali, faisait état de la mort de l'otage français depuis plusieurs jours. « Nous sommes intervenus car nous étions sûrs qu'il allait être exécuté, a martelé le président Sarkozy.
 
La dernière preuve de vie de Michel Germaneau remontait à la mi-mai
 
L'organisation al-Qaïda au Maghreb islamique avait laissé jusqu'a ce lundi 26 juillet aux autorités françaises pour satisfaire à ses revendications ; on évoquait la libération de certains membre d'AQMI, emprisonnés dans la région. Des revendications qui étaient restées floues, « aucune demande précise ne nous est parvenue », affirmait hier encore le Quai d'Orsay.
 
« Cet ultimatum n'était qu'un assassinat programmé » a affirmé le président de la République. Nicolas Sarkozy a enfin annoncé, que le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner allait se rendre à Niamey, Nouakchott et Bamako, pour discuter de la situation. « Nous demandons à nos compatriotes de renoncer absolument à voyager dans la zone sahélienne » a encore dit le président de la République.

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 15:17

Faute de pouvoir prouver la responsabilité des Taliban pakistanais dans l'attentat à la voiture piégée déjoué samedi soir à Times Square (New York), les enquêteurs ont repris leurs investigations.

REUTERS - Les enquêteurs américains rassemblaient les indices lundi pour tenter de trouver les responsables de l'attentat à la voiture piégée déjoué samedi soir dans le secteur new-yorkais de Times Square.

Le maire de New York, Michael Bloomberg, a déclaré qu'il n'y avait pas de preuve permettant d'établir un lien entre cet attentat et Al Qaïda ou une autre organisation.

"C'est malheureux que cela soit arrivé. Je suis confiant, nous allons découvrir qui a fait cela", a dit Bloomberg à la presse devant un restaurant de Times Square.

Le commissaire Raymond Kelly, chef de la police new-yorkaise, a précisé que des images de vidéo-surveillance avaient permis d'idenfifier un homme blanc âgé d'une quarantaine d'années qui a retiré une chemise noire à proximité du véhicule piégé.

Bloomberg a dîné avec le policier Wayne Rhatigan, qui a été alerté par un vendeur de rue de la présence suspecte d'un véhicule tout-terrain, un Nissan Pathfinder, à l'angle de la 45e rue près de Broadway.

Les taliban pakistanais ont revendiqué cette tentative d'attentat pour, ont-ils dit, venger la mort le mois dernier de deux chefs d'Al-Qaïda en Irak.

Les enquêteurs étudiaient de près les images de vidéos-surveillance et un engin explosif contenant du propane, de l'essence et des feux d'artifice, découvert à l'arrière du véhicule.

"Que justice soit faite"

"Nous allons faire ce qui est nécessaire pour protéger le peuple américain, pour trouver qui se cache derrière ce projet qui aurait pu être meurtrier, et pour faire en sorte que justice soit faite", a déclaré le président Barack Obama en Louisiane pour superviser les efforts de lutte contre la marée noire qui touche le golfe du Mexique.

La secrétaire à la Sécurité intérieure, Janet Napolitano, a estimé qu'il s'agissait d'un "attentat terroriste potentiel" sans se prononcer sur un éventuel lien avec des groupes islamistes ou sur une conséquence de la politique intérieure des Etats-Unis.

New York est en état d'alerte depuis les attentats du 11 septembre 2001, lorsque deux avions détournés ont percuté les tours jumelles du World Trade Center, faisant plus de 2.600 morts.

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 22:14

Accusée de collaboration avec une organisation terroriste et "négation du génocide", Victoire Ingabire a été interpellée à Kigali. Cette opposante avait fait part de son intention de se présenter à la présidentielle rwandaise en août.

AFP - Victoire Ingabire, une opposante rwandaise qui avait annoncé sa décision de se présenter à l’élection présidentielle prévue en août, a été arrêtée mercredi à Kigali pour "collaboration avec une organisation terroriste" et "négation du génocide", a-t-on appris de source judiciaire.

"Elle est accusée de collaboration avec une organisation terroriste, 'divisionisme', négation et minimisation du génocide" des Tutsi au Rwanda en 1994, a indiqué à l’AFP un haut responsable du parquet général qui a requis l’anonymat.

Le porte-parole de la police rwandaise, Eric Kayiranga, a confirmé cette arrestation à l'AFP.

"Elle a été arrêtée ce 21 avril vers 10 heures (08H00 GMT). Elle est dans les mains de la police. La police va procéder à son acheminement vers les instances du parquet. Elle va s'exliquer devant la justice", a-t-il expliqué.

"On la suspecte d'avoir commis des crimes graves. On a des preuves suffisantes pour qu'elle soit traduite devant les juridictions", a assuré M. Kayiranga.

Mme Ingabire est présidente des Forces démocratiques unifiées (FDU), un parti qui à ce jour n'a pas été agréé par les autorités rwandaises.

Elle est notamment accusée d’association avec les rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) basées dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a précisé cette source.

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 11:41

Map_Nigeria_FR_m.jpgDes hommes armés ont enlevé deux Allemands dans la zone pétrolifère du delta du Niger, dans le sud-est du pays, selon des sources des services nigérians de sécurité. Les rapts d'étrangers contre rançon sont fréquents dans cette région.

AFP - Deux Allemands ont été enlevés dimanche sur une plage de la rivière Imo, dans le sud-est du Nigeria, a-t-on appris de sources des services nigérians de sécurité.

Les deux hommes, âgés de 54 et 55 ans, et dont l'identité n'a pas été révélée, ont été enlevés dans l'Etat d'Abia, une région productrice de pétrole et voisine de l'Etat de Rivers situé dans la région pétrolifère du delta du Niger.

Les deux Allemands ont été kidnappés sur la plage d'Azumini, sur les rives de la rivière Imo, au moment où ils se dirigeaient vers leur véhicule, a ajouté cette source.

Ni la police ni l'ambassade allemande n'ont pu être jointes à propos de cet enlèvement, qui n'a pas été revendiqué.

L'un des deux hommes travaille à Port Harcourt, la capitale de l'Etat de Rivers, et le deuxième est établi à Lagos, capitale commerciale du Nigeria.

Des centaines d'étrangers et de Nigérians, la plupart travaillant dans le secteur du pétrole, ont été enlevés depuis 2006 au Nigeria, la plupart dans la région pétrolifère du delta du Niger.

La plupart ont été relâchés, parfois contre le versement d'une rançon.

Les enlèvements sont fréquents dans le sud du Nigeria, région où opèrent de nombreux groupes armés qui s'en prennent régulièrement à la très lucrative industrie pétrolière et aux activités para-pétrolières.

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