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  • : ACSCI Côte d'Ivoire
  • : L’ACSCI (Alliance Citoyenne de la Société Civile Ivoirienne) est une cellule de réflexion d’intellectuels ivoiriens qui s’unissent pour la défense des droits des populations."Vous souhaitez adhérer ou représenter notre cellule dans votre pays de résidence, n’hésitez pas à nous contacter."
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  • Homme de paix et de vérité,Auteur du projet du Dialogue Direct inter-ivoirien,Stratège diplomatique de formation,Seth Koko fut Leader d'opinion,défenseur des droits de la société civile ivoirienne, à travers l'ACSCI dont il est le Fondateur
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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 11:45

Les populations ivoiriennes pourront bientôt avoir de l’énergie électrique propre, abondante et à moindre coût. C’est l’une des décisions ressorties du conseil des ministres de mercredi dernier. En effet, selon le communiqué final présenté par le ministre en charge de ce département, indique que le 25 février 2013, le Chef de l’Etat procédera à la pose de la première pierre des travaux d’aménagement du barrage hydroélectrique de Soubré. Ce projet, inscrit au programme du Président de la République, permettra de soutenir la relance économique amorcée par la Côte d’Ivoire. Les travaux pour la réalisation de cette infrastructure sont estimés à 331 milliards Fcfa, dont 281 milliards pour la construction du barrage et des cités, et 50 milliards pour les mesures environnementales et sociales. Ces travaux permettront également de créer 3.000 à 5.000 emplois sur une période d’au moins 5 ans.

Lazare Kouadio

Le Democrate

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 13:00

La vie est chère. Depuis les dernières augmentations du prix du gaz et de l’essence, certains produits de premières nécessités ne sont plus accessibles à toutes les bourses. Après les consommateurs, la société civile a décidé de se faire entendre auprès des autorités compétentes.

Les dernières augmentations survenues dans le secteur du gaz et du super continuent de provoquer des mécontentements. Après les associations des consommateurs, c’est la société civile qui est montée au créneau. Selon Dr Kouamé Christophe, coordonnateur national de la Convention de la société civile ivoirienne (Csci), l’augmentation des produits s’opère sans une information préalable des partenaires sociaux. « Des prix de différentes marchandises et services (le carburant super, le gaz butane, les frais de scolarité dans les universités publiques, les actes d’état civil et judicaires, les frais d’abonnement à la poste... viennent d’aggraver la paupérisation de la population », a-t-il déploré. Par ailleurs, il a souligné que selon le principe directeur des Nations Unies du 9 avril 1985 portant protection du consommateur, le citoyen devrait être consulté au préalable par l’Etat débiteur d’obligations avant toute augmentation de prix. «L’augmentation des prix a été faite en violation des dispositions des principes directeurs pour la protection du consommateur susvisés. Nous suggérons au gouvernement d’ouvrir des discussions avec les partenaires sociaux pour trouver des solutions consensuelles et réduire les souffrances des Ivoiriens», recommande le Coordonnateur de la société civile. Face à la gangrène, le nouveau ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME Jean louis Billon décide de faire de la lutte contre la cherté de la vie, son cheval de bataille. « La question de la cherté de la vie est au cœur de notre action et l’ensemble des réflexions qui sont en cours depuis plusieurs semaines avec les organisations représentant les artisans et les PME. C’est pourquoi, le Gouvernement a décidé de renforcer son action par des mesures complémentaires visant à renforcer la lutte contre la vie chère », a rassuré le ministre. Pour sa part, Jean Louis Billon, souhaite que l’année 2013 soit dédiée au développement et à la consolidation de grandes actions. « Je voudrais rassurer les consommateurs et les opérateurs économiques, artisans et PME, que je suis plus que jamais concerné par l’amélioration du pouvoir d’achat des consommateurs et des conditions d’exercice du commerce », a-t-il signifié. Ce sont là des objectifs que le ministre se fixe dans l’accomplissement des tâches de son ministère. Aux commerçants, aux dirigeants et salariés de petites et moyennes entreprises, il a rappelé combien de fois leur place est essentielle dans l’économie nationale. Pour leur permettre d’exercer pleinement leur métier, Jean Louis Billon a décidé de veiller à l’amélioration du fonctionnement du marché en favorisant une saine concurrence en améliorant des outils de contrôle du secteur. A cet effet, le ministre promet que la Commission de la concurrence sera réactivée dans les meilleurs délais. De même, les périodes de solde et de promotion seront désormais mieux règlementées. Idem aux foires et salons qui méritent d’être mieux programmés dans l’année. Les services de contrôle et de métrologie seront mis à niveau pour répondre au mieux aux impératifs des opérateurs et des consommateurs. « Les emplois qui sont créés contribuent au rayonnement de notre culture. 2013 doit être pour nous l’année de la relance de la croissance de l’Economie Nationale, porteuse de prospérité et de bien-être pour nos concitoyens », a conclu Jean Louis Billon.
BENJAMIN SORO

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 20:26

Abidjan, Les coûts du gaz butane et de l’essence super sans plomb ont été revus à la hausse depuis mercredi en Côte d’voire, à la grande stupéfaction des populations qui jugent cette augmentation "inattendue".

Le prix du super initialement fixé à 774 FCFA est passé à 792 FCFA soit une hausse de 18 FCFA, quand la bouteille du gaz butane de six kg (B6) passe de 1800 FCFA à 2000 FCFA, donc une hausse de 200 FCFA (11% du prix à l'international) et celle de 12 kg est désormais à 5200 FCFA au lieu de 4000 FCFA précédemment, c’est-à-dire une augmentation de 1200 FCFA, soit 30%. Et la bouteille de gaz de 28 kg (B28) qui était vendue 9000 FCFA est maintenant à 18535 FCFA, soit plus du double.

Cette augmentation des prix de ces denrées énergétiques, survient quelques mois après le passage d’une mission du fonds monétaire international à Abidjan du 19 septembre au 3 octobre 2012, au cours duquel, l’institution financière mondiale avait exigé des autorités ivoiriennes "des supplémentaires pour faire face aux pressions exercées par la hausse mondiale des prix de l’énergie", en leur recommandant d’opérer des systèmes "d’ajustement, de fiscalisation et de subvention des prix des produits pétroliers et de l’électricité", rappelle t- on.

Pour l’heure, le gouvernement ivoirien ne s’est pas encore prononcé officiellement sur cette nouvelle affaire qui va sûrement porté un véritable préjudice aux ménages qui éprouvent déjà des difficultés à faire face à la cherté de la vie, indique t- on.

[AIP]

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21 juin 2012 4 21 /06 /juin /2012 14:30

banzioPrésent à Washington, DC au Forum de l’AGOA dans la délégation ivoirienne conduite par le Premier ministre Jeannot Ahoussou Kouadio , le ministre ivoirien du commerce, Dr Dagobert Banzio s’est confié à Lebanco.net.Il fait le point de la mission aux Etats-Unis et se prononce surtout sur l’épineux problème de la cherté de la vie en. Côte d’Ivoire

Monsieur le Ministre, la Côte d’Ivoire vient de participer au 11e Forum de l’AGOA. Au sortir de cet important rendez- vous commercial, quelles sont vos impressions ?

Nous avons été heureux d’accompagner le Premier Ministre Jeannot Ahoussou, dans cette grande mission. La Cote d’Ivoire a déjà été éligible à l’AGOA mais elle n’avait jamais pris part au Forum. C’est donc une grande premiere.Notre pays a été éligible en Octobre dernier suite a la visite officiel du Président Alassane Ouattara aux Etats- Unis d’Amerique.Et nous avons la charge en que ministre du commerce de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit prête pour capitaliser sur cette opportunité qui nous est offerte par les Etats-Unis d’Amérique .Il s’agit de faciliter les exportations vers les Etats-Unis. En effet, il ya plus 6400 articles qui sont exemptes de taxes douanières sans restriction sur les quantités. Pour bénéficier de cela, nous allons bientôt terminer la mise en place de la commission nationale.

La Commission Permanente AGOA et la prise d’un décret relatif au visa douanier et d`autres mesures qui respectent les règles de l’AGOA. La commission permanente est présidée par le Premier ministre, le ministre du commerce en est le Vice Président et soutenu par un secrétariat technique pour suivre de façon opérationnelle toutes les structures qui vont exporter vers les Etats-Unis. Ce 11eme Forum de l’AGOA ressemble à un Forum bilan. En 2015 l’AGOA doit être renouvelé par les autorités americaines.La loi qui doit passer par le sénat et la chambre des députés des Etats-Unis, prendra en compte les préoccupations tell l’utilisation de matière première provenant de pays tiers dans la fabrication de produit vers les Etats-Unis.

Monsieur le Ministre, malgré leur éligibilité à l’AGOA de nombreux pays africains n’utilisent pas cette opportunité americaine.Quelle est(ou quelle sera) la politique du gouvernement d’appui aux hommes d affaires afin qu’ils puissent mieux tirer profit de l’AGOA ?

Les autorités américaines et nous sommes d’accord avec cela, estiment que malgré ces points positifs, le potentiel que l’AGOA a offert n’a pas suffisamment été exploité par les pays membres. Jusque-là, c’est seulement 8% du potentiel qui est exploité, dont une bonne partie a été concentrée sur le textile. Ceci nous permet d’ouvrir les horizons aux Ivoiriens, et d’exploiter les 92% restant. Nous étudions ce qui a marché et ce qui ne l’a pas été dans le passé pour aider les entreprises ivoiriennes à réparer certaines faiblesses. Avant la fin de ce mois, la commission AGOA va s’installer, le comité d’agrément aussi, le Bureau du visa douanier sera aussi effectivement installé pour que les opérateurs économiques ivoiriens puissent exploiter tout cela.

En outre, Il est prévu de renforcer les capacités des opérateurs économiques ivoiriens, de les encadrer et de faire en sorte qu’ils remplissent les conditions pour être performants sur le marché américain qui est très exigeant. On a aussi nos représentations diplomatique et commercial aux Etats-Unis qui font en sorte que tout cela soit possible.

Par ailleurs, il y a aussi le Millenium Challenge Corporation (MCC) qui permet de soutenir les investissements dans le domaine des infrastructures (eau, chemin de fer, routes, etc.) pour pouvoir soutenir les autres investissements dont nous pouvons bénéficier. Il y a 15 critères dont la stabilité, la transparence, la libéralisation, le climat politique, etc. qui doivent être réunis. Les ministres africains ont demandé que les pays qui démontrent un effort dans ce sens puissent toujours bénéficier du MCC. Les ministres ont insisté sur les difficultés que leur pays ont à prendre avantage de l’AGOA à cause du manque d’infrastructures routières notamment.

Le manque d’infrastructures qui affecte les activités des femmes chefs d’entreprises, a aussi été Le cout de la vie est toujours dénoncé par les Ivoiriens. Quel est votre stratégie par rapport à la cherté de la vie en Côte d’Ivoire ?

Je pense que la Côte d’Ivoire est dans le monde. Nous ne sommes pas une économie qui vit en autarcie. Nous sommes une économie qui est inscrite dans le monde qui lui-même traverse une crise. On a aussi une économie libérale et non administrée. Il y a des facteurs exogènes (ce qui ne dépend pas de nous mais du marché extérieur) et des facteurs endogènes sur lequel nous pouvons nous concentrer pour améliorer le coût de la vie. Alors le Président qui est un grand économiste prend les mesures (sur le plan fiscal par exemple) qu’il faut au niveau de l’Etat pour que ces facteurs aient un effet positif. Une autre démarche est celle d’étudier le marché international. Si on prend le prix d’un article sur le marché international et qu’on ajoute le prix de fret, de douane, alors on sait à peu près quelle marge le commerçant devrait ajouter. Il y a une marge au-delà de laquelle ce n’est plus raisonnable alors nous négocions avec les commerçants pour qu’ils gardent les prix dans la marge qu’il faut, à savoir 15-21% et nous surveillons les grossistes. Nous avons des agents qui visitent les boutiques de grossistes pour recueillir et rapporter les prix pour aider l’Etat à garantir que cette marge soit respectée.
Pour les produits vivriers, le gouvernement a demandé au ministère de l’Agriculture d’encourager les cultivateurs à faire des produits de contre saison pour éviter les pénuries. Ces dernières années, il y a eu manque d’encadrement et c’est ce que le ministre de l’Agriculture s’attelle à corriger.

Le coût de la vie ne s’arrête pas à la nourriture. Il y a le loyer, les frais de la scolarité, le transport, etc. Il y a toute une batterie d’études que nous faisons pour pouvoir prendre des mesures. Nous tenons à mettre fin aux abus des consommateurs par certaines entreprises qui ont un certain monopole dans leurs domaines.

Pour le sucre on a signé un protocole pour réduire le prix du sucre qui avait connu une hausse à la suite de la crise pour couvrir les pertes dues aux pillages des entrepôts et il sera réduit de 50 à 30F le kg.

Concernant la viande de bœuf, beaucoup a déjà été fait. Le racket et les tracasseries routières ont été réduits mais cela a pris du temps pour être ressenti sur le terrain. Il y a déjà eu une baisse mais on espère que cela va continue à baisser. Le lait va aussi suivre, des mesures ont été prises.
Les Ivoiriens n’ont pas une maîtrise de la situation à cause de la crise des dernières années. Ils sont absents du marché du commerce contrairement aux ressortissants d’autres pays.

Les produits de premières nécessitées ont été interdits d’importation pour éviter que les autres pays viennent s’approvisionner sur le marché ivoirien et créer un déséquilibre entre l’offre et la demande. Ce qui éventuellement crée une hausse des prix.

Interview réalisée par Séry Pouamon/ LE BANCO, à Washington, DC

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