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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 01:17

NATIONS UNIES (AP) — La France et le Nigeria ont déposé un projet de résolution pour interdire l'usage des armes lourdes à Abidjan et prendre des sanctions supplémentaires contre Laurent Gbagbo afin qu'il cède le pouvoir à Alassane Ouattara, reconnu comme le président élu. La communauté internationale craint que l'impasse politique en Côte d'Ivoire ne replonge le pays dans la guerre civile.

L'ambassadeur de France auprès des Nations unies, Gérard Araud, a précisé que le texte avait été soumis aux membres du Conseil de sécurité vendredi et devrait être discuté la semaine prochaine. Il appelle à l'arrêt des violences en Côte d'Ivoire et exige que Laurent Gbagbo reconnaisse la victoire de son adversaire à l'élection de novembre dernier. Les sanctions aggravées viseraient le président sortant et son entourage.

L'interdiction des armes lourdes vise les forces pro-Gbagbo, qui ont tué 25 personnes le 17 mars en tirant des obus de mortier sur un marché du quartier pro-Ouattara d'Abobo à Abidjan, et sept autres ainsi que de nombreux blessés grave en ouvrant le feu à la mitrailleuse lourde contre une manifestation pacifique de femmes soutenant Alassane Ouattara dans ce même quartier le 3 mars.

Le projet de résolution demande aussi à la Cour pénale internationale (CPI) et à la Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme de présenter un rapport au Conseil de sécurité sur les accusations d'exactions commises contre des civils.

"Il serait choquant d'occulter le drame vécu par la population de Côte d'Ivoire et notamment à Abidjan. On ne peut pas gérer une seule crise à la fois", a déclaré vendredi Nicolas Sarkozy, faisant référence à l'implication de la France dans l'intervention militaire en Libye.

"C'est un scandale qu'on tire à l'arme lourde à Abidjan (...) Il faut au minimum déclarer qu'Abidjan doit être interdite aux armes lourdes", a estimé le président français lors d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet européen à Bruxelles.

"On parle d'hélicoptères qui pourraient être réparés pour tirer sur la population, on parle de mortiers. Ca doit être très clairement déclaré comme illégal par la communauté internationale. Il y a des forces des Nations unies, que ces forces fassent leur travail", a dit M. Sarkozy.

Plus d'un million d'Ivoiriens ont quitté leurs maisons, principalement dans la capitale économique du pays, Abidjan, de peur d'une nouvelle guerre civile, a affirmé vendredi le Haut commissariat pour les réfugiés de l'ONU (UNHCR).

Selon les chiffres de l'ONU, au moins 462 personnes ont été tuées dans les affrontements entre les partisans de Laurent Gbagbo et ceux d'Alassane Ouattara depuis décembre. La situation s'est brutalement aggravée ces derniers temps, avec un bilan d'au moins 52 morts rien que la semaine dernière. Et les précédentes estimations du nombre de déplacés étaient de 500.000 pour tout le pays.

L'ONU craint également que les combats touchent le Liberia voisin, alors que des informations font état de mercenaires arrivant en Côte d'Ivoire en provenance du Liberia. AP

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