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  • Homme de paix et de vérité,Auteur du projet du Dialogue Direct inter-ivoirien,Stratège diplomatique de formation,Seth Koko fut Leader d'opinion,défenseur des droits de la société civile ivoirienne, à travers l'ACSCI dont il est le Fondateur
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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 17:47

banny2Charles Konan Banny, président de la commission dialogue, vérité et réconciliation (Cdvr), était l’invité, le vendredi 24 mars dernier, du premier numéro de l’émission «Question de fond» de la RTI Bouaké, animée par Traoré Abou. Le président de la Cdvr, à cette occasion, a déballé son programme pour la réconciliation des Ivoiriens. «Dans ce pays, on a pris des largesses pour rien avec la vérité. On s’est écarté de la vérité, on a menti soit-même, on a trop menti en Côte d’Ivoire et on s’est persuadé que le mensonge était la vérité. Mais nous allons rétablir les faits. Il faut qu’on sache qui a fait quoi et pourquoi et prendre l’engagement une fois la vérité dite, essayer de nous pardonner et recréer cette union nationale qui caractérise la Côte d’Ivoire», a-t-il proposé. Indiquant la place des chefs traditionnels et religieux dans le processus de réconciliation, le président de la Cdvr a fait savoir que le processus est divin, donc la mission des guides religieux est divine et nécessaire. Et que, un processus de cette ampleur, de cette acuité doit associer intimement les religieux. Aussi, a-t-il ajouté qu’«il y a les normes internationales qui gouvernent le processus mais que nos pratiques, nos us et coutumes et les dépositaires qui font au quotidien de la réconciliation sont les chefs traditionnels soient impliqués, associés». Répondant à la question de se substituer à la justice, Charles Konan Banny a précisé que la réconciliation sera faite dans la justice, l’équité selon les normes et qu’il ne se substituera et ne confondra pas le pouvoir régalien de la justice et la justice restauratrice de la Cdvr. Pour lui, tout sera fait dans l’équité, la vérité. Car, a-t-il ajouté, ce qui lie les deux justices, c’est qu’elles travaillent sur la même matière, sur l’homme de manière à rechercher la vérité et savoir qui a fait quoi et obtenir réparation au profit des victimes de la société et promouvoir la reconnaissance en amenant ceux qui ont commis les crimes, à se repentir et solliciter le pardon. Mais aussi, créer les conditions d’un nouveau départ. Guidé, selon lui, par l’humilité, la détermination, Charles Konan Banny a dit qu’il compte répéter la même cérémonie du samedi dernier un peu partout en Côte d’Ivoire mais particulièrement dans les grandes localités où il y a eu surtout de très vifs foyers de tension. Il a parlé également des prochaines installations des commissions locales de la Cdvr dans les grandes régions du pays. Pour le président de la commission dialogue, vérité et réconciliation «le dialogue est la marque déposée de la Côte d’Ivoire tout comme la paix. On ne peut arriver à la paix si on s’ignore. Le dialogue est le patrimoine de l’Ivoirien. La paix doit être recherchée constamment», a-t-il conseillé.
DELMAS ABIB

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