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  • : ACSCI Côte d'Ivoire
  • : L’ACSCI (Alliance Citoyenne de la Société Civile Ivoirienne) est une cellule de réflexion d’intellectuels ivoiriens qui s’unissent pour la défense des droits des populations."Vous souhaitez adhérer ou représenter notre cellule dans votre pays de résidence, n’hésitez pas à nous contacter."
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  • Homme de paix et de vérité,Auteur du projet du Dialogue Direct inter-ivoirien,Stratège diplomatique de formation,Seth Koko fut Leader d'opinion,défenseur des droits de la société civile ivoirienne, à travers l'ACSCI dont il est le Fondateur
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29 avril 2010 4 29 /04 /avril /2010 15:38

Les leaders des jeunes du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) sont sortis très mécontents, hier après-midi de l’audience que leur a accordée le ministre de l’Intérieur, Désiré Tagro, à son cabinet.

 

 Il n’avait qu’à voir l’attitude du président de la Jpdci, Kouadio Konan Bertin pour s’en convaincre. Non seulement, il avait la mine renfrognée mais aussi il s’est refusé à faire quelque déclaration que ce soit à la presse, oubliant même qu’il avait à ses côtés le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général de l’Onu, Abou Moussa.

Qui a pris part également à la rencontre, tout comme le Représentant spécial du Facilitateur du dialogue direct inter ivoirien, Bouréima Badini. De fait, le ministre Tagro a convoqué les présidents Karamoko Yayoro (Rjr et président en exercice du Rassemblement des jeunes pour la démocratie et la paix), Kouadio Konan Bertin (Jpdci), Diomandé (Jmfa) et Yao Kouadio Séraphin (Judpci) pour leur demander de reporter la marche de protestation projetée à partir du 15 mai pour exiger, selon eux, l’organisation des élections.

La raison principale, a expliqué le ministre, est la tenue des assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (Bad) en Côte d’Ivoire du 24 au 28 mai 2010. «S’il y a une photo de famille à poser, s’il y a un point à faire, c’est avec lui (Désiré Tagro, Ndlr), il n’est pas là. Donc on se retrouve pour une conférence de presse», a lâché Kouadio Bertin, très remonté. Alors qu’il voulait se retirer, Karamoko Yayoro l’en dissuadera. Et c’est  Abou Moussa de l’Onuci qui donnera le contenu des discussions.

«Nous avons été invités par le ministre Tagro de l’Intérieur pour prendre part à une discussion entre la jeunesse du Rhdp et lui en tant que ministre de l’Intérieur qui représente le gouvernement. C’est à propos de la marche qui est prévue le 15 mai. Bien que la jeunesse n’ait pas encore formellement écrit au ministre, il a eu écho de cette marche dans les journaux. La jeunesse du Rhdp a promis de formellement notifier au ministre cette marche mais il était question de voir si cette marche pouvait être reportée au-delà du 30 mai pour tenir compte de la réunion de la Bad», a explique le diplomate onusien. Avant d’ajouter que les parties vont se retrouver la semaine prochaine pour qu’une une décision définitive soit prise.

«L’ordre du jour a été annoncé sur place, donc il est question maintenant de retourner et d’en rediscuter et revenir la semaine prochaine afin de faire le point. Donc aucune décision n’a été prise pour l’instant». Interrogé pour savoir s’il acceptait l’idée du report, le président en exercice du Rjdp, Karamoko Yayoro, a dit que lui et ses camarades s’en remettront à la base. Même si, pour l’instant, il considère que la manifestation demeure. «Nous avons entendu ce que le ministre a dit. il a présenté la situation. nous avons donc pris bonne note.

Nous irons rencontrer toutes nos bases et nous aviserons. Pour l’heure, ce qu’il faut retenir, c’est que la marche est maintenue pour le 15. Nous reviendrons donc la semaine prochaine pour donner notre position», a soutenu le président du Rjr. Qui n’a pas manqué de déplorer la situation difficile que traverse le pays et qui justifie, selon lui, cette manifestation de protestation. «Il faut le dire, l’assemblée générale se tient pendant quatre jours mais les Ivoiriens vont continuer de souffrir. Et nous avons le devoir d’y voir plus clair. Vous savez que le processus est bloqué...” a-t-il ajouté.

 

Paulin N. Zobo

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 21:52
Question : Présidentielle 2010 : Selon vous, qui des trois principaux leaders politiques gagnera l'élection présidentielle de cette année ? Sondage créé le : 12-03-2010
  982 votes 37.3%
Laurent Gbagbo
 
  526 votes 20%
Henri Konan Bédié
 
  1123 votes 42.7%
Alassane Dramane Ouattara
 
2631 votes
 

 

Question : Présidentielle 2010 : Pensez-vous que le candidat Alassane Dramane Ouattara mérite d'être élu ou ne mérite pas d'être élu président de la République si l'élection présidentielle a lieu aujourd'hui ? Sondage créé le : 10-03-2010
  1208 votes 50%
Mérite d'être élu président de la République
 
  1088 votes 45.1%
Ne mérite pas d'être élu président de la République
 
  118 votes 4.9%
Sans avis
 
2414 votes
 

 

Question : Présidentielle 2010 : Pensez-vous que le président Henri Konan Bédié mérite de revenir au pouvoir ou ne mérite pas de revenir au pouvoir si l'élection présidentielle a lieu aujourd'hui ? Sondage créé le : 08-03-2010
  831 votes 36%
Mérite de revenir au pouvoir
 
  1321 votes 57.2%
Ne mérite pas de revenir au pouvoir
 
  156 votes 6.8%
Sans avis
 
2308 votes
 

 

Question : Présidentielle 2010 : Pensez-vous que le président Laurent Gbagbo mérite d'être réélu ou ne mérite pas d'être réélu si l'élection présidentielle a lieu aujourd'hui ? Sondage créé le : 04-03-2010
  692 votes 34.6%
Mérite d'être réélu
 
  1235 votes 61.7%
Ne mérite pas d'être réélu
 
  74 votes 3.7%
Sans avis
 
2001 votes
 

 

Question : Présidentielle 2010 : Pensez-vous que le président Laurent Gbagbo a des chances ou n'a pas de chance d'être réelu si l'élection présidentielle a lieu aujourd'hui ? Sondage créé le : 28-02-2010
  243 votes 30.3%
A des chances d'être réélu
 
  538 votes 67.1%
N'a pas de chance d'être réélu
 
  21 votes 2.6%
Sans avis
 
802 votes
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26 avril 2010 1 26 /04 /avril /2010 22:36

Finalement, il s’est décidé à aller aux élections. Du moins, si l’on en croit ce qu’il a dit au président Abdoulaye Wade avant son retour pour le Sénégal.

 

A son homologue qu’il a invité à venir parler ‘’aux uns et aux autres’’, Laurent Gbagbo a proposé qu’il était enfin prêt à aller aux élections. Mais avec la liste des 5, 3 millions d’Ivoiriens qui se trouvent sur la liste blanche. Sur ce point, le chef de file de la Refondation rejoint le président du RDR Alassane Dramane Ouattara, candidat à la présidentielle.

En effet, le patron des Républicains a sillonné, du 6 au 10 janvier dernier, les villes d’Alépé, Adzopé, Akoupé, Agboville et Jaqueville A l’issue de cette visite qui s’est déroulée dans une ambiance conviviale et fraternelle, ADO a animé sa traditionnelle conférence de presse de clôture. A cette occasion, le président du RDR s’est prononcé sur l’actualité sociopolitique du pays en général et sur le processus électoral en particulier.

Devant la presse nationale et internationale qui l’a suivi dans son périple, le leader du RDR a clairement dit ce qu’il pensait de la liste électorale provisoire. Face à la montée de fièvre qui gagnait le clan présidentiel notamment sur la soit disant fraude sur les 429 000 noms qui serait frauduleusement inscrits sur la liste provisoire, ADO a fait la proposition suivante: « (…) Moi, j’irai plus loin en disant que comme la liste des 5,3 millions a été validée par le CPC, alors, qu’on aille aux élections avec cette liste.

Que tout le monde se réfère à cette liste de 5,3 millions. S’ils commencent des palabres sur les 1,3 millions concernés par le contentieux, alors (…) on va aux élections avec les 5,3 millions. En ce moment-là, les cartes d’identité et les cartes d’électeurs pourront être fabriquées dans les deux semaines. Et on va aux élections vers le 20 février.

Il faut comprendre que nous ne pouvons pas traîner .indéfiniment cette affaire». A l’époque, cette proposition ne semblait pas avoir du tout emballé les Refondateurs qui y voyaient certainement un piège comme c’est toujours le cas, même si l’opposition fait des propositions objectives et raisonnables pour une sortie de crise.
Yves-M Abiet

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24 avril 2010 6 24 /04 /avril /2010 22:54

La présente contribution fait suite à un article intitulé «A propos des sondages TNS Sofres: Touré Mamadou ridiculise Ouattara à Paris», paru mardi 20 avril 2010 dans les colonnes du journal pro-Fpi ‘’Notre Voie’’ relatif à une conférence publique que j’ai animée à Paris le samedi 17 Avril 2010.

 

Monsieur Augustin Kouyo, l’auteur de cet article dit avoir interrogé M. James Cénach, concernant la véracité de la manipulation des chiffres publiés depuis peu dans la presse et qui donnent le candidat Laurent Gbagbo largement vainqueur aux élections présidentielles en Côte d’Ivoire. Je n’ai aucune prétention de répondre au journal ‘’Notre Voie’’, qui du reste fait son travail de journalisme militant. Mais j’estime que pour la gouverne et le respect du peuple de Côte d’Ivoire et de la communauté internationale, c’est un devoir pour moi de restituer les faits dans leur réalité. Avant d’entrer dans le vif du sujet, je tiens à dire que je ne suis pas le marsien «un certain Touré Mamadou» auquel fait allusion le journaliste de ‘’Notre Voie’’. Je suis Touré Mamadou, président de la Coalition pour le changement (CPC) et porte-parole jeune du candidat Alassane Dramane Ouattara. Le seul noir à avoir occupé jusqu’ à présent, le prestigieux poste de Directeur Général Adjoint du FMI et qui est candidat à la présidentielle dans son pays. Il m’a nommé porte-parole jeunes et cette nomination, comme celle de mes autres collègues, a fait l’objet d’une large diffusion au niveau de la presse nationale. J’assume depuis lors, cette responsabilité avec fierté et avec beaucoup de conviction. Certes, c’est un honneur pour moi de servir un grand homme comme Alassane Dramane Ouattara, mais ceux qui me connaissent savent que je ne vis pas de prébende et je n’attends pas de piécette pour le travail que je suis amené à faire. Travailler simplement avec ADO et parler en son nom constituent pour moi une source de satisfaction incommensurable.

I - LES FAITS

Après ces précisions, je tiens à répéter aux Ivoiriens que oui, les résultats des nombreux sondages qui sont régulièrement publiés dans la presse et qui donnent Laurent Gbagbo vainqueur à la présidentielle en Côte d’Ivoire sont bel et bien commandités, financés et tronqués par le camp présidentiel pour une seule cause: Préparer les esprits des Ivoiriens à un brigandage électoral. Et comme un sorcier qui se laisse surprendre par l’aube, les informations que j’ai révélées au cours de ma conférence de presse de Paris ont mis en branle les commanditaires et les exécutants de ce sondage. Ceux-ci, après l’article injurieux publié dans ‘‘Leur Voie’’ ont commencé leur macabre danse de sorcier, histoire de m’emmener à mettre sous le boisseau toutes les autres informations qui sont en notre possession. Déjà, ce lundi 19 avril 2010, sous le coup de 10 Heures (heure de Paris), donc 8 H GMT, j’ai reçu un coup de fil d’une personne se présentant comme M. James Cénach à partir du numéro de téléphone 00225 08 18 63 32. Son appel, selon lui, faisait suite au compte rendu de ma conférence paru dans les journaux «L’expression» et «Le Nouveau Réveil». Je vous livre quelques bribes de ce coup de fil que, pour le témoignage, j’ai pris le soin d’enregistrer. Les propos tenus par le sieur James Cenach montrent bien que ce prestidigitateur notoirement reconnu comme tel dans le milieu de la presse en Côte d’Ivoire est perturbé par les informations parues dans la presse: «Vous m’incriminez dans une affaire dans laquelle je ne suis pas mêlé. Je ne connais pas M. Djahi Serges et je ne suis pas auteur des sondages. Vous voulez me livrer aux Ivoiriens, vous savez que ce sont des ignorants. Sofres pourrait penser, que j’ai organisé une fuite d’information pour m’accaparer le fruit de leur travail. Appelez ‘’Le Nouveau Réveil’’et ‘’L’Expression’’ pour apporter un démenti», m’a-t-il confié avant de me soumettre au questionnement suivant; Quelle est votre source? Vous venez quand à Abidjan? Il faut qu’on se voie. Vous savez, Ouattara est mon ami, Amadou Gon et Hamed Bakayoko sont aussi mes amis». En première réaction, j’ai été surpris de ce qu’une personne que je ne connais pas et que je n’ai jamais rencontrée ait en sa possession mon numéro privé de téléphone portable en France, mais, cela n’est pas le plus important. Je lui ai rétorqué qu’il ne me revenait pas de faire un démenti de mes propos que j’assume, mais, qu’en tant que journaliste (car il en est un) il devait savoir qu’en pareille circonstance, il lui revenait d’user de son droit de réponse auprès des organes cités pour démentir les informations qui sont portées contre lui. En ce qui concerne mes sources, je trouve curieux et surprenant qu’il me demande (lui en tant que journaliste) de les lui dévoiler. Je lui ai promis quand même de jeter un coup d’œil sur le contenu des articles et d’apprécier leur fidélité d’avec mes propos. Ma surprise fut encore plus grande quand, le lendemain mardi 20 avril 2010 aux environs de 8 heures à Paris, la même personne me rappelle avec, cette fois-ci un numéro de France qui est le 0637778276 pour m’informer qu’elle vient d’arriver à Paris et souhaiterait que nous nous rencontrions. J’étais sur le point de donner une réponse à sa demande de le rencontrer quand j’ai pris connaissance de l’article me concernant dans le journal du FPI et qui m’a littéralement accusé d’avoir inventé des faits dont les preuves existent pourtant. Pour l’éclairage des Ivoiriens, J’ai alors décidé de fournir des informations encore plus précises qui vont désormais amener tous les citoyens de ce pays et la communauté internationale à prendre avec des pincettes les résultats de ces sondages.

II- MA REPONSE

Je tiens donc à réitérer comme je l’ai dit à ma conférence, que TNS Sofres n’a jamais envoyé d’équipe en Côte d’Ivoire pour faire des enquêtes en vue d’un sondage. L’institut fait de la sous-traitance avec une boîte en Côte d’Ivoire, appelée Marketing Field Force, dont le responsable est bel et bien M. Djahi Serge qui est un partisan du président-candidat Laurent Gbagbo. Ce travail se fait avec la complicité de M. James Cenach. Nous savons aussi avec une grande certitude que:
l la grille des questionnaires remise aux enquêteurs est élaborée par M. James Cenach depuis une chambre d’un l’hôtel à Abidjan au Plateau.
l La formulation des questionnaires est faite avec la collaboration de certains agents de l’Institut Nationale des statistiques (INS).
l les jeunes gens recrutés par Marketing Field Force reçoivent leur formation les dimanches à l’école Notre-Dame du Plateau.
l La troisième vague des sondages, contre toute attente, donnait Ouattara en tête. Marketing Field Force a réagi de façon brutale, demandant aux enquêteurs si le sondage avait été réalisé à la Rue Lepic (siège du RDR), avant de se séparer d’eux et de recruter de nouvelles personnes.
De tout ce qui précède, TNS Sofres n’intervient qu’au bout de la chaîne pour apposer sa signature sur le travail effectué par Marketing Field Force. De ces informations non exhaustives, j’aimerais en même temps que ceux qui lisent cette intervention, me poser un certain nombre de questions dont les réponses pourraient aider à la manifestation de la vérité :
l Est-ce que l’entreprise Marketing Field Force, dirigé par Djahi Serge existe oui ou non et fait de la sous-traitance pour TNS Sofres?
l Admettons que c’est TNS Sofres qui réalise les sondages, dites-nous messieurs les refondateurs, à quel moment cette entreprise française envoie ses enquêteurs en Côte d’Ivoire et où peut-on localiser leur représentation?
l Quand le journal Notre Voie dit que monsieur James Cenach connait les instituts de sondages en France pour avoir travaillé à Paris, il les connait comment? Les connait-il à travers les médias comme beaucoup d’Ivoiriens ou cette connaissance est liée à son travail comme semblent l’insinuer les écrits des journalistes de son propre camp?

En conclusion

Je considère que c’est plutôt ceux qui manipulent des sondages au profit de Laurent Gbagbo, qui le ridiculisent. J’aimerais ajouter que comme nous l’enseigne la fable de Lafontaine, tout flatteur vit au dépend de celui qui l’écoute. Ici en France, personne ne croit en ces sondages malgré la crédibilité accordée à la TNS Sofres. Ce constat résulte des nombreuses rencontres que la Coalition pour le changement a eues avec différents milieux politiques et médiatiques en France. D'ailleurs, Laurent Gbagbo, lui-même, n’accorde aucun crédit à ces sondages, sinon, nous sommes convaincus qu’il se serait précipité pour aller à des élections afin de fermer définitivement la bouche à ses opposants. Aux partisans de «La Majorité Présidentielle (LMP)», je m’adresse: Vous pourrez continuer à ridiculiser Laurent Gbagbo si cela vous chante, mais de grâce sachez que nous n’accepterons jamais que notre pays tant meurtri soit ridiculisé en même temps que vous et votre candidat. Concernant Monsieur Ouattara, sachez que pour lui, le seul et vrai sondage sera le verdict des urnes, alors, allons aux élections que les ivoiriens, que monsieur James Cénach qualifie d’ignorants, choisissent enfin leur président.

Touré Mamadou,
Président de la Coalition
pour le changement (CPC)
Porte-parole jeunes du candidat
Alassane Dramane Ouattara,
Depuis Paris.

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21 avril 2010 3 21 /04 /avril /2010 23:09

Le Rhdp (Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix) décide que le Pr Alphonse Djédjé Mady ne se rendra pas à la convocation d’Ange Kessy ». Telle est la position de cette coalition de partis politiques de l’opposition.

 

Et c’est le Pr Alassane Salif N’Diaye, qui l’a fait savoir hier, 20 avril 2010, au cours d’une conférence de presse au siège du Pdci (parti démocratique de Côte d’Ivoire) à Cocody. « En date du 30 mars 2010, le commissaire du gouvernement près du tribunal militaire Ange Kessy, a adressé une invitation à comparaître au Pr Alphonse Djédjé Mady, porte parole du Rhdp, dans le cadre des poursuites dirigées contre des personnes présumées appartenir aux Forces armées et qui seraient impliquées dans les tueries perpétrées à Gagnoa », a-t-il souligné.

 Pour le conférencier, le Pr Djédjé Mady étant un civil, il ne peut être poursuivi par un tribunal militaire qui, en droit ne s’occupe que des affaires militaires. De même, toujours selon lui, le Pr Djédjé Mady étant ancien ministre, il ne peut être poursuivi par les institutions judiciaires ordinaires. « Le Pr Djédjé Mady ne peut être convoqué intuitu personae, parce qu’il a agi en tant que porte parole du Rhdp qui regroupe des partis politiques régulièrement constitués, conformément à la loi fondamentale de Côte d’Ivoire, c’est-à-dire, la constitution à savoir le Pdci- Rda, le Rdr, l’Udpci, Mfa », a indiqué, en sus, le Pr Alassane Salif N’Diaye. Pour lui, il s’agit là d’une affaire politique montée de toute pièce.

 « C’est une cabale tendant à intimider et à affaiblir le directoire du Rhdp alors que l’essentiel, c’est-à-dire les élections que les Ivoiriens attendent impatiemment, passe sous silence », a-t-il soutenu. Puis, il a rappelé des faits. « Les Ivoiriens se souviennent que M. Affi N’guessan, président du Front populaire ivoirien avait invité ses militants à s’opposer par tous moyens aux audiences foraines en 2006 ; il en est résulté de nombreux morts notamment à Divo et à Grand Bassam et Ange Kessy n’a toujours pas réagi sur cette affaire.

 Les 24, 25, 26 mars 2004, le Plateau fut déclaré zone rouge, interdite et que toute personne qui s’y aventurerait serait traitée en ennemi de la République et abattue sans sommation. Le Rhdp a décompté 512 morts, tous sauvagement abattus à leur domicile par des Forces de défense et de sécurité. On attend toujours d’Ange Kessy, les résultats de ses enquêtes sur ce massacre d’Ivoiriens aux mains nues qui voulaient seulement exercer un droit reconnu par la Constitution, celui de manifester », a-t-il dénoncé.

Par rapport à la période indiquée par le commissaire du gouvernement, a noté Salif N’Diaye, il y a également eu des morts d’Ivoiriens à Abobo, Divo, Daloa. Pourquoi, s’est-il alors interrogé, Ange Kessy se préoccupe seulement de Gagnoa ? Est-ce parce que c’est la région du chef de l’Etat ? C’est pour ces raisons que cette coalition de partis politiques de l’opposition a rejeté la convocation d’Ange Kessy du revers de la main.

 En clair, pour le Rhdp, le président du directoire ne bougera pas. « Nous notons que la lettre a été déposée par une personne anonyme au secrétariat du Pdci- Rda à cocody, sans cahier de transmission ni accusé de réception, ce qui s’apparente à une opération clandestine », a-t-il dit. « Djédjé Mady n’est pas venu, je prends acte. Il n’a pas voulu que la vérité éclate », a déclaré pour sa part le commissaire du gouvernement.

Pour lui, il ne s’agit que d’une simple audition en vue d’enrichir une procédure d’enquête. « C’est une procédure au cours de laquelle toute personne citée, militaire ou civile, nationale ou étrangère, impliquée, mise en cause ou susceptible de fournir tout renseignement, sera entendue de sorte à éclairer le dossier », a-t-il précisé. Il faut rappeler que dans le cadre d’une enquête relative aux évènements sanglants qui se sont produits à Gagnoa le 18 février 2010, suite au mot d’ordre de désobéissance civile lancé par le Rhdp, Djédjé Mady avait été convoqué « à titre de témoin » le mercredi 14 avril 2010.Le président du Rhdp avait brillé par son absence. Aussi, le commissaire du gouvernement avait-il reporté ce rendez-vous à hier. Mais là encore, Djédjé Mady lui a fait faux bond.

Source : Soir Info

 

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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 12:16

Bakayoko affaires étrangèresChaque camp politique a son idée pour la remise en marche du processus électoral. Reste à savoir si la relance elle-même ne sera pas source de nouveaux désaccords.

Plusieurs propositions sont sur la table pour relancer le processus électoral ivoirien, bloqué après les accusations de falsification des listes électorales que la majorité présidentielle a lancées en janvier dernier à l'encontre du président de la Commission électorale indépendante (CEI) d'alors, Robert Beugré Mambé.

Le Premier ministre, Guillaume Soro, envisage de mettre sur pied, avec la bénédiction des Nations unies, une commission spéciale chargée d’enquêter sur la composition des listes actuelles (6,3 millions d’électeurs). De son côté, le successeur de Robert Beugré Mambé à la tête de la CEI, Youssouf Bakayoko, qui a consulté tous les acteurs, propose de confier la gestion du contentieux aux comités de suivi mis en place en janvier, au début de la crise.

Les conclusions de l'entretien entre Laurent Gbagbo et son Premier ministre, dimanche 11 avril à Abidjan, n'ont en tout cas pas filtré. Guillaume Soro avait qualifié l'échange de « fructueux ». Mais deux jours plus tard, le président du Front populaire ivoirien (FPI, le parti de Laurent Gbagbo) Pascal Affi N'Guessan avait réclamé la recomposition des commissions électorales locales dans un entretien à jeuneafrique.com. Selon lui, Guillaume Soro devra « rendre son tablier » d'ici deux mois s'il n'est pas parvenu à faire désarmer les ex-rebelles des Forces nouvelles (FN). Pour l'heure, la relance du processus de sortie de crise dans le cadre de l’accord politique de Ouagadougou (APO), signé en mars 2007 dans la capitale burkinabè, demeure donc très hypothétique.

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 18:51

carteci 1récents propos tenus à Paris par Pascal Affi N’Guessan alimentent la polémique en Côte d’Ivoire. Quasiment tous les journaux reprennent et commentent les déclarations lundi devant la presse et l’interview mardi sur notre antenne du chef du FPI, le parti présidentiel.
Ainsi pour L’Intelligent , «la guerre de tranchée entre le camp présidentiel et les Forces Nouvelles continue de faire rage, malgré les propos rassurants du Premier ministre Guillaume Soro dimanche dernier au sortir d’un déjeuner de travail avec le président Laurent Gbagbo. La dernière sortie de Pascal Affi N’Guessan à Paris, poursuit le journal, montre combien le fossé entre les partisans de Gbagbo et ceux de son premier ministre s’agrandit. Face à la presse à Paris, Pascal Affi N’Guessan a encore chargé le premier ministre Guillaume Soro », avec notamment, précise L’Intelligent, cette déclaration : « Soro a été nommé Premier ministre pour qu’il désarme ses troupes et réunifie le pays en 10 mois, de sorte que nous allions aux élections. Si au bout de 37 mois, il n’est pas capable de respecter sa part du contrat, alors, il nous faudra discuter avec celui qui est capable de désarmer les troupes des Forces Nouvelles et réunifier la Côte d’Ivoire.»

Mardi sur RFI, Pascal Affi N’Guessan a été plus précis : « soit le Premier ministre est capable de réunifier le pays, restaurer l'autorité de l'Etat conformément à l'Accord politique de Ouagadougou, soit il n'en est pas capable et il rendra le tablier. »
Dans l’entourage de Guillaume Soro, on ne décolère pas… « Affi N’Guessan va bientôt prendre sa dose. Il aura la réponse qu’il mérite », assure l’un des conseillers du Premier ministre, interrogé par L’Intelligent.

Pourquoi tant de haine ?

Alors pourquoi cette charge du camp présidentiel ? Alors que les choses semblaient s’être calmées après la mise au point de dimanche dernier entre Laurent Gbagbo et Guillaume Soro ?
Le quotidien Nord-Sud tente d’apporter des réponses. « Le président du FPI cherche-t-il à se venger du chef du gouvernement qui avait indiqué récemment dans une interview à Jeune Afrique qu’il ne comprenait pas l'Accord politique de Ouagadougou ? Il est tout de même évident, poursuit le journal, que Pascal Affi N'Guessan ne semble pas avoir été briefé par le président de la République sur le contenu de son entretien avec le Premier ministre. Sinon, l'on comprend mal qu'il continue à souffler sur les braises (…). L'autre explication de cette fuite en avant de Pascal Affi N'Guessan, avance Nord-Sud, pourrait être trouvée dans son dépit face au dégonflement de la crise. Ce qui laisse entrevoir l'image d'un homme qui se croit obligé de donner des coups pour revendiquer une légitimité auprès des durs de son propre camp. »

Le Patriote  va encore plus loin : il affirme qu’Affi N’Guessan chercherait à éliminer physiquement Guillaume Soro. « Il y a de quoi s’inquiéter », s’exclame le quotidien d’opposition.

Soro sur un siège éjectable…

Ce qui est sûr, estime le site d’information burkinabé Fasozine , c’est que «visiblement, Laurent Gbagbo, aidé de son parti, le FPI, s’est engagé dans une campagne d’éjection de Guillaume Soro. A lire entre les lignes des interviews accordées par Gbagbo à France 24 et Affi N’Guessan à RFI, tout porte à croire que les jours de Soro sont comptés. Du moins, précise Fasozine, les allusions à la fin de sa primature sont si flagrantes que plus personne ne se trompe sur la stratégie du clan présidentiel. (…) Comme on peut le voir, poursuit le site burkinabé, la palabre autour des listes pour une présidentielle, reléguée aux calendes… ivoiriennes, s’est déplacée vers celle de l’unification du pays. Tous les obstacles sont bons pour ne plus parler de l’élection présidentielle qui était considérée comme la dernière ligne droite de sortie de crise. Laurent Gbagbo et son clan ne veulent pas de ces élections, affirme Fasozine et ils ont tous les moyens pour retarder l’échéance. »

« Guillaume Soro parviendra-t-il à s’en sortir, s’interroge L’Observateur, toujours au Burkina, face à des 'requins' de la carrure de N’Guessan ? Pour l’heure, tout porte à croire que l’élection n’est pas pour demain, estime le quotidien ouagalais. Pour longtemps encore, le désarmement et le fichier électoral seront des questions qui fâchent et qui divisent du côté de la Côte d’Ivoire. »

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 17:32

Conference Affousy%20(7)%20(Large)La guerre de tranchée entre le camp présidentiel et les Forces Nouvelles continue de faire rage malgré les propos rassurants du premier ministre Guillaume Soro le dimanche 11 Avril 2010 au sortir d’un déjeuner de travail avec le Président Laurent Gbagbo.

 

La dernière sortie de Pascal Affi N’Guessan au Cape à Paris le lundi 12 Avril 2010, montre combien de fois le fossé entre les partisans de Gbagbo et ceux de son premier ministre s’agrandit. Face à la presse à Paris le lundi, Pascal Affi N’Guessan a encore chargé le premier ministre Guillaume Soro. ‘’ Soro a été nommé premier ministre pour qu’il désarme ses troupes et réunifie le pays en 10 mois, de sorte que nous allions aux élections.

Si au bout de 37 mois, il n’est pas capable de respecter sa part du contrat, alors, il nous faudra discuter avec celui qui est capable de désarmer les troupes des Forces Nouvelles et réunifier la Côte d’Ivoire. Si Soro désarme ses troupes la semaine prochaine, nous pouvons aller aux élections au mois de Mai.

C’est encore de la phraséologie et rien d’autre. Il nous faut des décisions et actions concrètes ‘’, a asséné le président du FPI en réponse à la déclaration de Guillaume Soro après le déjeuner avec le Chef de l’Etat. Dans sa brève déclaration, le premier ministre avait appelé les Ivoiriens à la sérénité : « Nous avons, comme vous pouvez l’imaginer, passer en revue toutes les questions leaders.

Le président de la République et moi-même, avons convenu qu’il était utile et nécessaire que l’accalmie et la tranquillité reviennent. Pour ce faire, le président et moi-même allons parler aux uns et aux autres, pour que la sérénité regagne tous les camps. Pour les questions qui intéressent tous les Ivoiriens, notamment la question de la réunification, le président et moi-même avons noté la nécessité de l’urgence de cette question.

 C’est pourquoi, très rapidement, en ce qui concerne l’unicité des caisses de l’Etat et le regroupement, il a été convenu qu’un chronogramme soit élaboré, en vue de mettre en œuvre ces processus. En ce qui concerne l’établissement de la liste électorale, là aussi, le président de la République et moi-même avons convenu que le processus du contentieux qui avait été interrompu soit relancé ».

Hier, la porte-parole des Forces nouvelles, Me Affoussy Bamba a tenté de minimiser la sortie du président du FPI. A l’en croire, il faut plutôt faire confiance au Président de la République et au premier ministre qui ont décidé de relancer le processus de sortie de crise. Un avis pas forcement partagé par d’autres collaborateurs de Guillaume Soro qui ont décidé volontairement de se mettre au vert pour apporter une réponse appropriée à Pascal Affi N’Guessan. ‘’Affi N’Guessan va bientôt prendre sa dose.

Il aura la réponse qu’il mérite. Nous n’allons plus accepter qu’il s’attaque gratuitement au premier ministre Guillaume Soro. Il est libre d’aller raconter ce qu’il veut et où il le veut. Les Forces Nouvelles sont une force organisée et chacun a un rôle bien défini.

Les Forces Nouvelles ne se répandent pas chaque 5 minutes dans les journaux’’, a martelé un collaborateur du secrétaire général des Forces Nouvelles joint au téléphone hier.

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 12:57

012042010181255000000028052009151757000000pascalaffi.jpgDans une interview vidéo à Jeuneafrique.com, le président du Front populaire ivoirien (FPI, camp présidentiel), Pascal Affi N'Guessan interpelle le Premier ministre et secrétaire général des Forces nouvelles (FN, ex-rébellion) Guillaume Soro. Le défi qu'il lui lance est clair : soit il arrive à faire désarmer les anciens rebelles dans les deux prochains mois, soit il "rend son tablier".  

Pascal Affi N'Guessan ne prête pas longue vie politique à Guillaume Soro qui agit, selon lui, comme "Premier ministre le jour et chef des rebelles la nuit". Venu présenter la situation politique ivoirienne à la presse étrangère, le 12 avril à Paris, l’ancien Premier ministre et président du Front populaire ivoirien (FPI, camp présidentiel) a rappelé que l’Accord politique de Ouagadougou, signé en mars 2007, aurait dû être exécuté dans les 10 mois suivant sa signature. "Cela fait 37 mois, a t-il indiqué. Le chef du gouvernement devrait en tirer toutes les conséquences et rendre son tablier".

Le camp présidentiel réclame le désarmement des Forces nouvelles (FN) dans les deux prochains mois - selon l'accord de Ouagadougou - et la recomposition des commissions électorales locales jugées trop "partisanes". "Nous avons estimé qu'aller aux élections avec 95 % des commissions électorales locales dirigées par des militants adverses, c'était un gros risque politique. Il faut qu'aucun compétiteur soit à la fois joueur et arbitre", a souligné Pascal Affi N'Guessan, qui précise que le camp présidentiel - contrairement à ce qu'affirment ses détracteurs - veut aller au plus vite aux élections.

"Si nous sommes tous de bonne volonté, en cinq jours, l'audit des listes électorales peut être fait, a-t-il estimé, en espérant que cette partie du processus électoral soit "achevée dans un délai d'un mois à 45 jours". "Nous n'avons aucune raison de ne pas croire aux sondages TNS Sofres", qui donnent la victoire au président Laurent Gbagbo, a-t-il conclu.

Une vidéo pour une reflection. Mr Seth Koko sur France24 le 15 février 2010 

 
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12 avril 2010 1 12 /04 /avril /2010 12:29

030032010193700000000soroABIDJAN, 11 avr 2010 (AFP) - Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro
s'est engagé dimanche à relancer la réunification du pays et le processus
devant conduire à un scrutin présidentiel constamment reporté depuis 2005, à
l'issue d'une rencontre avec le chef de l'Etat Laurent Gbagbo.


Très attendue, cette réunion entre M. Gbagbo et le chef de l'ex-rébellion
des Forces nouvelles (FN) au palais présidentiel n'a cependant débouché sur
aucune annonce quant au calendrier et aux modalités de relance du laborieux
processus de sortie de crise, bloqué depuis le début de l'année.


Elle intervenait après plusieurs semaines de vifs échanges entre camp
Gbagbo et FN autour de la réunification du pays, coupé en deux depuis le
putsch manqué de 2002. Les partisans du président font du désarmement de
l'ex-rébellion un préalable au scrutin, repoussé depuis la fin du mandat de M.
Gbagbo en 2005.


Nous "avons convenu qu'il était utile et nécessaire que l'accalmie et la
tranquillité reviennent, et pour ce faire (nous) allons parler aux uns et aux
autres", a déclaré M. Soro à la presse.


Evoquant "la nécessité et l'urgence" de la réunification, il a indiqué que
"très rapidement" un calendrier serait élaboré pour mettre en oeuvre
"l'unicité des caisses de l'Etat et le regroupement" des éléments FN dans des
casernes, prévus dans le dernier accord de paix signé fin 2008 mais restés
quasiment lettre morte.


Le traitement des contentieux sur la liste électorale sera "relancé",
a-t-il également annoncé, promettant un "mécanisme" pour "rassurer les
Ivoiriens sur la crédibilité et la fiabilité" de la liste.

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