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  • : L’ACSCI (Alliance Citoyenne de la Société Civile Ivoirienne) est une cellule de réflexion d’intellectuels ivoiriens qui s’unissent pour la défense des droits des populations."Vous souhaitez adhérer ou représenter notre cellule dans votre pays de résidence, n’hésitez pas à nous contacter."
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  • Homme de paix et de vérité,Auteur du projet du Dialogue Direct inter-ivoirien,Stratège diplomatique de formation,Seth Koko fut Leader d'opinion,défenseur des droits de la société civile ivoirienne, à travers l'ACSCI dont il est le Fondateur
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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 20:04

FAFN18%20(Large)ABIDJAN - L`ex-rébellion ivoirienne des Forces nouvelles (FN), dirigée par le Premier ministre Guillaume Soro, s`est "engagée" à désarmer ses troupes avant l`élection présidentielle officiellement prévue fin avril-début mai, a-t-elle annoncé lundi.

Les instances dirigeantes des FN, qui contrôlent le nord du pays depuis leur coup d`Etat manqué de 2002, ont achevé dimanche une semaine de réunion à Bouaké (centre), en présence de M. Soro, sur les questions du désarmement et de la réunification du pays.

Les FN "s`engagent à appliquer le DDR", le programme de désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-combattants, "un mois" avant la tenue de l`élection présidentielle, assure un communiqué transmis lundi à l`AFP.

"Je demande aux Ivoiriens la patience et surtout la sérénité parce que le désarmement se fera conformément aux accords (...). On a pris un engagement, on l`appliquera" a affirmé M. Soro, selon le texte.

"La question du désarmement ne doit pas faire peur aux uns et aux autres"
a-t-il ajouté, évoquant "un processus long".

Le dernier accord de paix, signé fin 2008 en complément à "l`accord politique de Ouagadougou" de 2007, prévoit le désarmement des éléments FN qui n`auront été ni démobilisés ni reversés dans des brigades mixtes (loyalistes et ex-rebelles) chargées de sécuriser la prochaine élection.

Le parti présidentiel, le Front populaire ivoirien (FPI), réclame régulièrement le désarmement des FN avant le scrutin.

Selon le dernier calendrier arrêté sous l`égide du médiateur et président burkinabè Blaise Compaoré, l`élection est prévue pour "fin avril-début mai".

Le Premier ministre Guillaume Soro en a souhaité la tenue d`ici juin.

Par AFP

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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 14:37
PNRRD (10) (Large)
Par Fraternité Matin
Depuis la
création du Programme national de réinsertion et de réhabilitation communautaire (Pnrrc), en 2008, la plus importante des phases, à savoir le profilage, a été fait.

Ainsi, 32.777 éléments des Forces armées des Forces nouvelles (Fafn) ont été profilés contre 37.451 personnes des groupes d’auto- défense et des milices. Selon le Coordonnateur national du Pnrrc, Ouattara Daniel, il reste, pour les premiers cités, 14.774 à démobiliser, y compris, entre autres, les 5.000 Volontaires de l’armée nouvelle (Van) et les 500 policiers formés. Quant aux ex-membres des groupes d’auto- défense, ce sont au total, 20.144 personnes qui attendent d’être démobilisées.

Avec tous ces résultats, l’élection peut-elle se tenir, sans problème?

Le processus étant en cours, l’élection peut se tenir
. Et puis, le danger ne viendra pas forcément de ma population cible», a-t-il dit. Et d’ajouter : «La mise en œuvre de ce processus n’empêche pas la tenue des élections». Surtout que, dira Ouattara Daniel, «la fin du processus militaire est la mise en place de la nouvelle armée, un mois après l’élection du nouveau président de la République».

Selon lui, sa structure peut démobiliser la population cible restante, à condition que les moyens suffisants lui soient donnés. Au cours de cette rencontre avec les journalistes, Ouattara Daniel a indiqué que «sur une prévision de 5 milliards, le budget accordé au Pnrrc s’élève à 3 milliards». Alors que, fait-il remarquer, «il y a beaucoup de contraintes». Le Coordonnateur national explique qu’il ne s’agit pas de démobiliser une population forte sans pouvoir la réinsérer.
A cette interrogation, le premier responsable du Pnrrc a donné une réponse qui se veut précise : «Le désarmement en Côte d’Ivoire est un processus suivant un mode opératoire en quatre étapes : le profilage, le regroupement, l’encasernement et la démobilisation et enfin, la formation et la réinsertion.

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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 22:14
Negociations--16--1-.JPGAFP -
Les 28 membres du nouveau gouvernement ivoirien, dont certains issus de l'opposition, se sont pour la première fois rassemblés ce jeudi matin. Cette nouvelle équipe devra conduire le pays à une élection présidentielle maintes fois reportée.

L'opposition ivoirienne est entrée jeudi dans le nouveau gouvernement, mettant fin à la crise née le 12 février de la dissolution par le président Laurent Gbagbo du précédent cabinet et de la commission électorale, a-t-on appris de source officielle.

Les 11 postes restant à pourvoir dans le nouveau cabinet du Premier ministre Guillaume Soro -qui comptait depuis sa formation le 23 février seulement 17 ministres effectivement nommés- ont été attribués jeudi, selon un décret de M. Gbagbo lu par le secrétaire général de la présidence, Amédée Couassi Blé.

Le gouvernement au grand complet de 28 personnes, dont M. Soro, chef de l'ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), s'est réuni dans la matinée pour un Conseil des ministres sous la présidence du chef de l'Etat.

Après la mise sur pied d'une Commission électorale indépendante (CEI) renouvelée la semaine dernière, la formation de ce gouvernement met fin à une crise de près de trois semaines née de la double dissolution.

Cette crise avait entraîné un regain de tension marqué par des manifestations de l'opposition, parfois émaillées de violences, et la mort d'au moins sept personnes lors de la répression de protestations.

Le Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP), coalition des principaux partis d'opposition alliée pour la circonstance avec le petit Parti ivoirien des travailleurs (PIT), avait exigé le rétablissement de la CEI avant d'intégrer le nouveau cabinet de "réconciliation nationale".

Le RHDP, dirigé par l'ancien chef d'Etat Henri Konan Bédié et l'ex-Premier ministre Alassane Ouattara, garde le contrôle et la présidence de la CEI.

Les discussions de ces derniers jours avaient buté sur les noms des futurs représentants RHDP dans le cabinet, le président Gbagbo refusant la reconduction de certains ministres de l'équipe précédente.

Le gouvernement et la CEI ont la lourde tâche de conduire le pays à une élection présidentielle reportée depuis la fin du mandat de M. Gbagbo en 2005, et destinée à clore la crise causée par le putsch manqué de 2002, qui a coupé le pays en deux.

Le scrutin doit se tenir "fin avril-début mai", selon le calendrier fixé récemment lors de la visite du médiateur et président burkinabè Blaise Compaoré.

M. Soro a indiqué que le gouvernement devait avoir accompli sa mission d'ici juin

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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 10:35
Bakayoko-affaires-etrangeres.jpgDeux semaines après la dissolution de la commission électorale par le président Laurent Gbagbo (photo), les autorités ont annoncé la nomination d'une nouvelle équipe, étape clé pour surmonter la crise politique qui secoue la Côte d'Ivoire.
Par Dépêche France 24

REUTERS - Les autorités ont annoncé dans la nuit de jeudi à vendredi la nomination d'une nouvelle commission électorale en Côte d'Ivoire, étape clé pour venir à bout de la récente crise politique qui s'est soldée par plusieurs journées de manifestations violentes.
Le président de la nouvelle commission sera Youssouf Bakayoko, qui est membre du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), une des deux grandes formations de l'opposition.

La nomination d'une nouvelle commission était la condition fixée par l'opposition ivoirienne pour intégrer formellement le nouveau gouvernement, dont la formation a été annoncée mardi. L'opposition s'était engagée à poursuivre les manifestations contre le président Laurent Gbagbo tant qu'il ne réinstallerait pas la commission électorale qu'il a révoquée, de même que le gouvernement, le 12 février.

Gbagbo, à l'appui de sa décision, avait accusé le président de la commission d'alors, Robert Mambé, d'avoir illégalement glissé des noms dans les listes électorales pour conforter le score de l'opposition à des élections futures.

A la suite d'une médiation menée par le président burkinabé Blaise Compaoré, la Côte d'Ivoire a dévoilé mardi la liste d'un nouveau gouvernement qui comprendra des membres des deux grandes formations d'opposition, le PDCI et le RDR (Rassemblement des républicains).

Un million de noms contestés

Le Premier ministre sortant Guillaume Soro, issu des Forces nouvelles (ex-rebelles), avait promis la nomination d'une nouvelle commission électorale pour jeudi.

Ce nouveau gouvernement sera une équipe resserrée à 27 ministres, contre 32 précédemment. Seuls 16 ministres ont été nommés pour l'instant, la majeure partie étant des ministres sortants qui récupèrent leur portefeuille. L'opposition, elle, n'a pas encore proposé de noms.

Remettre la commission électorale sur les rails passait pour plus important que nommer un gouvernement en bonne et dueforme, gouvernement qui, en tout état de cause, est provisoire car son mandat a expiré en 2005.

L'organisation d'élections est considérée comme la seule façon de rétablir la légitimité du gouvernement et de mettre fin à la crise ouverte en Côte d'Ivoire par la guerre civile des années 2002-2003.

Une fois que la nouvelle commission sera en fonctions, elle devra achever le laborieux travail d'élaboration de listes électorales définitives, et cela en passant en revue l'ensemble des noms contestés sur la liste provisoire.

Six millions d'électeurs sont inscrits d'ores et déjà mais un million d'autres voient leurs noms contestés, pour des questions touchant à leur "ivoirité", sujet qui divise profondément la classe politique de Côte d'Ivoire.

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